Même si les enfants, les adolescents et les personnes d’une vingtaine d’années sont infectés, l’infection est naturellement bénigne ou asymptomatique », a déclaré le bulletin pharmaceutique japonais Med Check. Il est ridicule d’envisager la vaccination des enfants d’âge scolaire.

OSAKA, Japon – Les vaccins contre le COVID peuvent présenter un risque de décès au moins sept fois plus élevé que le virus lui-même pour les personnes âgées de 20 ans, selon un bulletin médical japonais.

Une étude parue dans le dernier numéro de Med Check, un bulletin bimestriel publié par l’Institut japonais de pharmacovigilance (NOPJIP), membre de la Société internationale des bulletins sur les médicaments (ISDB), a révélé que le risque de décès lié aux vaccins pourrait même être 40 fois plus élevé chez les jeunes.

Med Check a cité trois rapports de personnes âgées de 20 à 29 ans décédées dans les jours ou les semaines suivant la vaccination, estimant le taux de décès pour ce groupe d’âge à 3,2 pour 1 million. L’un des décès apparents liés à la vaccination est celui d’un joueur de baseball professionnel de 27 ans, qui s’est effondré huit jours après avoir été piqué et est décédé après une bataille d’un mois dans un hôpital.

Le bulletin note que le nombre de décès pourrait être plus élevé, en partie parce que le gouvernement japonais n’exige le signalement des lésions présumées dues au vaccin que dans les 28 jours suivant l’injection. Au 15 octobre, le ministère japonais de la Santé, du Travail et des Affaires sociales avait reçu un total de 1 308 rapports de décès après la vaccination par le COVID.

Même avec seulement trois cas, le risque d’une réaction fatale au vaccin a largement dépassé le danger du virus pour les jeunes, qui ont 0,6 à 0,8 chance sur 1 million de mourir de cette maladie au Japon, selon Med Check. Sur 11,8 millions de Japonais âgés de 20 ans, sept seulement étaient morts du COVID en juin 2021, et 10 à la mi-août.

Le risque de décès lié à la vaccination était plus de sept fois supérieur en juin, et près de cinq fois supérieur le 11 août, par rapport au risque présenté par le coronavirus, a déterminé Med Check. Sur plusieurs années, le risque de décès lié à la vaccination chez les jeunes de 20 ans pourrait être jusqu’à 40 fois plus élevé que celui lié au COVID-19.

Med Check a également souligné qu’aucun décès dû au COVID n’a été enregistré au Japon chez les moins de 20 ans jusqu’en septembre 2021. « Si les enfants de ce groupe d’âge sont vaccinés, cela peut entraîner la mort », avertit le bulletin.

« Même si les enfants, les adolescents et les personnes âgées de 20 ans sont infectés, l’infection est naturellement bénigne ou asymptomatique parce qu’ils ont moins de récepteurs ACE2 du SRAS-CoV-2 que les adultes, en particulier les personnes âgées. Il est donc ridicule d’envisager la vaccination des écoliers. »

Entre 0,00 et 0,03 pour cent des cas de COVID aux États-Unis de moins de 18 ans ont entraîné des décès, et zéro enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans est mort du virus au cours des 15 premiers mois de la pandémie en Allemagne, selon une étude récente.

Le taux de survie au COVID-19 a été estimé à pas moins de 99,7 % pour tous les groupes d’âge de moins de 60 ans.

L’analyse de Med Check fait écho à des évaluations similaires d’autres experts, comme le Dr Jessica Rose, une immunologiste virale qui a déclaré en septembre à un panel de la FDA que les dangers du vaccin « dépassent tout bénéfice potentiel », citant une augmentation « très anormale » des rapports de blessures dues aux injections.

« Nous pourrions finir par tuer des milliers de nos enfants avec ces vaccins non testés sur le plan de la sécurité », a également averti le Dr Paul Elias Alexander, chercheur en santé et ancien responsable de Trump, dans un article pour LifeSiteNews. « Il n’y a pas de données de sécurité appropriées, ni à moyen ni à long terme, et les parents doivent se lever maintenant et dire NON ! ».