Les médias cherchent absolument n’importe quoi (autre que l’évidence) pour expliquer la soudaine augmentation du nombre de crises cardiaques, de myocardites, de péricardites et d’autres maladies cardiaques dans tout l’Occident.

Les médias américains accusent le « syndrome du cœur brisé » et l’anxiété :

Les médias européens accusent le « changement climatique » :

Les médias britanniques accusent le « stress de la pandémie » et la « mauvaise alimentation » :

Le Times a eu le mérite d’aborder le vrai problème dans le corps de son article.

« Un mauvais régime alimentaire et le stress pendant la pandémie sont susceptibles d’avoir provoqué un pic de crises cardiaques en Écosse, selon un éminent cardiologue qui a déclaré qu’il y avait une chance infime que les vaccins Covid-19 aient joué un rôle« , rapporte timidement le Times.

The Sunday Times :

Aseem Malhotra, cardiologue et président de l’organisation caritative Public Health Collaboration, a fait remarquer que dans les zones de guerre, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux augmentaient souvent chez les civils après la fin du conflit. Il a suggéré que l’impact de la pandémie pourrait créer un phénomène similaire, contribuant à expliquer la recrudescence des crises cardiaques causées par des artères partiellement obstruées dans l’ouest de l’Écosse, après les bouclages de cette année.

[…] Il a déclaré : « Avec les vaccins, nous savons déjà qu’à court terme, il y avait un problème de coagulation du sang. Pour l’instant, je ne pense pas qu’il y ait une forte indication que cela soit lié au vaccin. »

Toutefois, il a ajouté : « Nous ne pouvons pas l’écarter complètement. Nous devrions garder un œil sur la situation dans les mois à venir. »

Ils ont conclu leur article par une propagande de Pfizer affirmant que « l’arrêt cardiaque n’est pas un effet secondaire reconnu » de leur vaccin contre le covid.