Le CDC admet avoir passé outre les droits des personnes naturellement immunisées sans preuve qu’elles transmettent le virus + L’immunité naturelle est supérieure à l’immunité vaccinale

Après mise en demeure, le CDC concède qu’il n’a pas la preuve d’un seul cas de propagation du virus par un individu naturellement immunisé.

On pourrait supposer que si le CDC allait écraser les droits civils et individuels des personnes naturellement immunisées en les faisant expulser de l’école, les renvoyer de leur travail, les séparer de l’armée, et pire encore, le CDC aurait la preuve d’au moins un cas de transmission du virus COVID-19 par un individu non vacciné et naturellement immunisé à un autre individu. Si vous pensiez cela, vous auriez tort.

Un cabinet du nom de l’ICAN, a demandé au CDC précisément cette preuve. L’ICAN voulait voir la preuve de tout cas où une personne ayant déjà eu le COVID-19 a été réinfectée et a transmis le virus à quelqu’un d’autre. La réponse incroyable du CDC est qu’il ne possède pas un seul document indiquant que cela s’est produit. Pas un seul.

En revanche, il existe une infinité de documents reflétant des cas de personnes vaccinées qui ont été infectées par le virus et l’ont transmis à d’autres.

Mais il y a pire. L’excuse du CDC pour ne pas avoir la moindre preuve que le système immunitaire naturel transmet le virus est que « ces informations ne sont pas collectées ». Quoi ? ! Aucune preuve !

Mais malgré la preuve évidente que les vaccinés transmettent le virus, le CDC lève les restrictions sur les vaccinés ? ! C’est dystopique.

Les faits concernant l’immunité naturelle sont simples. Toutes les études évaluées par des pairs ont montré que l’immunité naturelle offre une protection bien supérieure à 99 % contre le COVID-19, et cette immunité ne faiblit pas.

En revanche, le vaccin COVID-19 fournit, au mieux, une protection de 95%, et cette immunité s’estompe rapidement. Je ne suis pas mathématicien, mais un 99% constant semble préférable à un 95% qui baisse rapidement. Et, alors que les vaccinés transmettent facilement le virus, ce n’est pas le cas des personnes naturellement immunisées.

Une fois de plus, la leçon à tirer n’est pas que les autorités sanitaires ne doivent jamais faire d’erreurs. Elles en feront. Cela arrive. La leçon à tirer est que les droits civils et individuels ne devraient jamais dépendre d’une procédure médicale. Toute personne, qu’elle soit naturellement immunisée ou non, qui souhaite être vaccinée et stimulée doit être libre de le faire. Mais personne ne devrait être contraint par le gouvernement à prendre part à une procédure médicale.

L’évidence l’emporte encore : L’immunité naturelle est supérieure à l’immunité vaccinale

Le CDC mène une guerre contre sa propre crédibilité en refusant d’accepter l’immunité naturelle.

Un vaccin Covid-19 procure-t-il une meilleure immunité qu’une infection antérieure ? Pendant que les experts débattaient, le Réseau d’action pour le consentement éclairé (ICAN) est allé au fond de cette question. Il a engagé un échange formel avec les CDC sur cette question précise. La réponse, sans surprise, est la suivante : l’immunité naturelle l’emporte !

En bref – et cela va être un euphémisme – le CDC ne parvient pas à réfuter la science claire, cohérente et irréfutable démontrant la supériorité de l’immunité naturelle par rapport à l’immunité vaccinale.

En résumé :

Qui est le plus susceptible de contracter le Covid-19 (la maladie symptomatique) ? La réponse est claire. L’immunité naturelle offre une protection supérieure à 99 % contre la Covid-19, tandis que l’immunité vaccinale est bien en deçà de ce niveau de protection, même directement après la vaccination, et s’affaiblit ensuite rapidement.

Qui est le plus susceptible d’être infecté par le virus et de le transmettre (avec ou sans symptômes) ? La réponse est à nouveau très claire. L’immunité vaccinale ne prévient pas l’infection et la transmission, alors que l’immunité naturelle le fait. Comme l’a expliqué le directeur du CDC, les personnes vaccinées doivent porter des masques car « ce que [les vaccins COVID-19] ne peuvent plus faire, c’est prévenir la transmission. » (Ce point est également traité dans un article précédent).

Pire encore, d’après les données officielles des gouvernements britannique et israélien, les effets indésirables connus du vaccin Covid-19 dépassent les avantages connus de la vaccination des personnes naturellement immunisées.

Le CDC ne fournit pas non plus l’ombre d’une preuve pour contester qu' »après une chasse mondiale à tout cas de réinfection et de transmission du SRAS-CoV2, il n’y a aucune preuve qu’un individu précédemment infecté par le SRAS-CoV-2 risque d’être réinfecté et de le transmettre à d’autres ».

Le CDC dispose même d’un protocole détaillé pour enquêter sur les réinfections. Mais il se contente pourtant d’écraser les droits de ceux qui ont une immunité naturelle à moins qu’ils ne se soumettent à ses politiques de vaccination sans cas documentés de réinfection et de transmission.

Une fois de plus, la leçon à tirer n’est pas que les autorités sanitaires ne devraient jamais faire d’erreurs. Elles en feront. Cela arrive. La leçon est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Toute personne, qu’elle soit naturellement immunisée ou non, qui souhaite être vaccinée et stimulée devrait être libre de le faire. Mais personne ne devrait être contraint par le gouvernement à participer à une procédure médicale.

Source : https://aaronsiri.substack.com/p/cdc-admits-crushing-rights-of-naturally

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