Les données de Pfizer sur six mois montrent que les vaccins COVID peuvent » causer plus de maladies qu’ils n’en préviennent » delon des Médecins et scientifiques canadiens

Une alliance de plus de 500 médecins, professeurs, scientifiques et professionnels de la santé canadiens indépendants se sont réunis pour former la Canadian COVID Care Alliance. Tout au long de cette pandémie, ils se sont engagés à fournir une approche fondée sur des preuves pour informer le public canadien sur tout ce qui concerne le COVID.
La liste de leurs représentants comprend des docteurs en immunogénétique, en immunologie, en virologie moléculaire, en immunologie virale, en pharmacologie, en recherche biomédicale, en biochimie, en bioanalyse, des médecins de famille en exercice, des médecins et plus encore.
L’alliance a récemment publié un PDF montrant que, selon elle, les données de Pfizer sur 6 mois montrent que leurs inoculations COVID « provoquent plus de maladies qu’elles n’en préviennent ». Le PDF s’intitule « Les inoculations Pfizer pour le COVID-19 : More Harm Than Good »
Ils ont également publié une vidéo résumant le PDF, qui est intégrée à la fin de cet article si vous souhaitez la faire défiler et la regarder.
Le PDF contient toutes les données et le raisonnement qui ont permis à ces universitaires d’arriver à leurs conclusions. Il est très détaillé et aborde plusieurs facteurs importants qui ne sont pas suffisamment pris en compte par le courant dominant, malgré leur importance.
Comme vous le savez, les données sont interprétées différemment, mais il est important, à notre époque, de pouvoir partager le travail de ces universitaires de manière ouverte et transparente. Les vérificateurs de faits qui travaillent avec Facebook et d’autres organisations devraient le reconnaître, même si des universitaires interprètent les données différemment. La science est une question de transparence, de discussion et de liberté de partager l’information. La censure n’aide pas. Les données existantes montrent que les vaccins peuvent prévenir la gravité de la maladie et les risques de décès pendant un certain temps, en particulier chez les populations plus âgées et plus vulnérables.
Le PDF montre que les données du rapport de six mois de Pfizer ont montré que les personnes vaccinées ont connu une augmentation des maladies et des décès par rapport au groupe placebo. Il n’y a aucun avantage à réduire le nombre de cas si cela se fait au prix d’une augmentation des maladies et des décès.

Le rapport montre également que « 3 participants du groupe BNT162b2 et 2 du groupe placebo initial ayant reçu BNT162b2 après levée de l’insu sont décédés. » En outre, environ 50 % des blessures liées aux vaccins signalées au VAERS au cours des 30 dernières années sont toutes dues aux vaccins COVID.

Ce qui n’est pas mentionné dans le rapport, c’est le fait que la FDA refuse de communiquer des données spécifiques de Pfizer concernant ses inoculations COVID. Une demande au titre de la loi sur la liberté d’information (FOIA) faite par le groupe Public Health and Medical Professionals for Transparency, également un groupe indépendant composé de nombreux médecins et scientifiques, leur a permis de mettre la main sur une fraction des documents jusqu’à présent.
Les documents révèlent que Pfizer était au courant de plus de 50 000 réactions indésirables graves qui auraient pu être dues à son vaccin dans les 90 premiers jours de son lancement. La FDA se bat actuellement contre le groupe d’universitaires pour avoir jusqu’en 2096 pour publier toutes les données, qui comprennent près d’un demi-million de pages.
Pourquoi les scientifiques indépendants n’ont-ils pas accès à ces données ? Pourquoi n’ont-elles pas été rendues transparentes ?
Il était bon de voir l’Alliance canadienne de soins COVID soulever le fait que le 2 novembre, le British Medical Journal (BMJ) a publié un article sur son enquête sur Ventavia, l’une des sociétés de recherche engagées par Pfizer pour mener les essais. Le BMJ a reçu des dizaines de documents internes de l’entreprise, des photos, des enregistrements audio et des courriels montrant la falsification des données.
Facebook a censuré l’article et ses « vérificateurs de faits » l’ont même qualifié de « fausse nouvelle ». La rédactrice en chef du British Medical Journal (BMJ), Fiona Godlee, et le futur rédacteur en chef Kamran Abbasi ont critiqué Facebook et ses « vérificateurs de faits » pour avoir qualifié l’enquête du BMJ de « fausse nouvelle », et les ont qualifiés d' »incompétents ».
J’ai pris connaissance de l’alliance canadienne COVID Care Alliance grâce au travail de ses membres, le Dr Bryam Bridle, PhD, immunologiste viral et professeur à l’Université de Guelph, ainsi que le Dr Steven Pelech, professeur de neurologie et d’immunologie à l’Université de la Colombie-Britannique.
Pelech a lancé une pétition auprès du gouvernement canadien afin d’arrêter le déploiement des inoculations COVID au Canada.
Vous trouverez ici la vidéo résumant le PDF rédigé par la Canadian COVID Care Alliance.
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